Poèmes d’I.A.

Demande à Copilot (Microsoft) : écris un poème sur l’Institut national de jeunes sourds de Bordeaux

Dans les murs de pierre, silencieux et forts,
L’Institut de Bordeaux, refuge des cœurs.
Un lieu où les mains dansent, où les yeux s’ouvrent,
Où la langue des signes tisse des rêves.

Sous les platanes, les élèves s’épanouissent,
Chaque signe, chaque geste, une symphonie.
L’Institut, gardien des secrets, des espoirs,
Ouvre ses portes aux âmes en quête de savoir.

Les professeurs, tels des étoiles bienveillantes,
Illuminent les chemins, guident les apprentis.
Les salles de classe résonnent de curiosité,
Les regards s’animent, les esprits s’épanouissent.

L’Institut, berceau de l’inclusion, de l’égalité,
Où les sourds et les entendants se rencontrent.
Les rires, les échanges, les projets qui fleurissent,
Chaque jour, une aventure, une nouvelle histoire.

Et dans la cour, les platanes murmurent,
Ils gardent les souvenirs, les rires, les pleurs.
L’Institut de Bordeaux, un phare dans la nuit,
Guide les jeunes sourds vers un avenir infini.

Que résonne le silence, que danse la langue des signes,
L’Institut, gardien des rêves, des destins.
Ses murs portent l’espoir, la force, la résilience,
Là où les cœurs s’ouvrent, où les âmes s’épanouissent.

Demande à ChatGPT : Ecris un poème sur la langue des signes

Au ballet des mains, une danse divine,
La langue des signes, éloquence sans ruine.
Geste par geste, une histoire s’écrit,
Silencieuse, mais dans le cœur, elle fleurit.

Les doigts dévoilent des poèmes en mouvement,
Chaque signe, une note, un enchantement.
Symphonie visuelle, langage universel,
Les mains parlent, racontent, dansent avec zèle.

Les yeux captent l’essence, la poésie gestuelle,
Comme des oiseaux libres, l’expression s’envole.
Des signes sculptent des ponts entre les âmes,
Une passerelle muette où l’amour réclame.

Les émotions éclosent, éclatent en silence,
Les mains tissent des liens, sans résistance.
Des éclats de rire aux larmes qui dévalent,
La langue des signes, un langage qui ravale.

Les expressions façonnent un paysage vibrant,
Des gestes délicats, un doux éclair scintillant.
Chaque signe, une étoile dans la nuit sombre,
La langue des signes, un poème sans encombre.

Sur la page de l’air, les mains écrivent,
Des histoires d’amour, de joie, qui suscitent.
Dans le silence, la langue des signes s’épanouit,
Un langage d’amour où chaque geste conduit.

Ainsi, dans le ballet des doigts en harmonie,
La langue des signes, une douce mélodie.
Une danse sans bruit, mais pleine de vie,
Un langage universel qui transcende l’oubli.

Demande à Copilot (Microsoft) : peux-tu rédiger un poème sur la beauté de la langue des signes ?

Dans le silence, les mains s’élèvent,
Un ballet muet, une danse qui rêve.
La langue des signes, douce et fluide,
Tisse des histoires, des émotions vives.

Les doigts s’entrelacent, dessinent des arcs,
Comme des oiseaux en vol, légers dans le parc.
Chaque signe est un mot, chaque geste un récit,
Un langage secret, où l’âme s’épanouit.

Les sourds et les entendants se rejoignent,
Dans ce monde silencieux où les cœurs se rejoignent.
Les yeux captent les nuances, les expressions,
La beauté des signes, une véritable passion.

Les mains s’animent, racontent des légendes,
Des poèmes invisibles, des chansons suspendues.
La langue des signes, un art, une magie,
Où les mots prennent vie, dans une symphonie.

Alors, écoutons avec nos yeux, apprenons à voir,
La grâce des signes, leur puissance, leur espoir.
Dans ce silence vibrant, la langue des signes danse,
Une étoile lumineuse, une étreinte immense.

Demande à ChatGPT : Ecris un poème sur la surdité

Dans le silence où danse l’ombre noire,
Un monde à part, la surdité dévoile,
Échos muets, notes perdues dans le soir,
Une symphonie silencieuse, sans étoile.

Les murmures du vent, la mer qui chante,
Se perdent dans l’obscurité vibrante,
Les éclats de rire, les pleurs qui coulent,
S’éteignent sans écho, dans une nuit qui déroule.

Les mots se taisent, mais le cœur s’exprime,
Dans le langage des signes, sublime,
Les mains dessinent des histoires sans son,
Un ballet muet, une danse sans frisson.

Les yeux deviennent la porte de l’âme,
S’ouvrent à un monde où chaque regard désarme,
Les sourires résonnent au-delà des mots,
Comme des étoiles filantes dans le grand tableau.

La surdité, un silence qui parle,
Un monde unique où l’amour étincelle,
Dans l’ombre des sons, une lumière brille,
L’âme entend la mélodie du cœur, tranquille.

Les mains deviennent des poèmes en mouvement,
Les yeux lisent des émotions dans chaque moment,
La surdité, une symphonie différente,
Où l’amour et la compréhension chantent.

Dans le silence, une force s’éveille,
La surdité devient une aube qui émerveille,
Un monde parallèle, une vie en couleur,
Où le silence parle, où règne la douceur.

Demande à Copilot (Microsoft) : écris un poème sur l’opposition entre le bruit et le silence

Dans le tumulte des rues, le bruit règne en maître,
Une cacophonie incessante, un flot qui nous hante.
Les klaxons résonnent, les pas se précipitent,
Le monde tourbillonne dans le chaos, et le silence se cache.

Mais cherchons les coins tranquilles, les recoins cachés,
Là où le silence s’épanouit comme un ruisseau secret.
Les feuilles bruissent, chuchotent leurs histoires,
Et la lune fredonne des berceuses lorsque la nuit se dévoile.

Le bruit est une tempête, une rage qui gronde,
Il aveugle nos sens, nous emprisonne dans des cages.
Pourtant, le silence est un refuge, une douce brise,
Il berce nos âmes, nous apaise, nous apporte la paix.

Le bruit hurle ses exigences, exige notre attention,
Il étouffe la réflexion, nourrit l’appréhension.
Mais le silence invite à l’introspection, à la quiétude,
Il dévoile nos vérités, libère nos cœurs en solitude.

Dans l’affrontement des opposés, ils dansent leur duel,
Le bruit et le silence, comme le feu et le carburant.
Chacun a sa place, son rôle, sa raison d’être,
Et dans leur équilibre, nous trouvons notre essence.

Honorons donc les deux, le bruit et le silence,
Car ils façonnent notre existence, notre résilience.
Dans la symphonie de la vie, ils s’harmonisent,
Le yin et le yang, les bas et les hauts.